Alexis de Tocqueville prétend que la démocratie n’est pas seulement une forme de gouvernement, c’est aussi un mode d’organisation sociale qui privilégie et développe la liberté individuelle, comme l’égalité des chances, pour un accomplissement de chacun dans la limite de cette même liberté. Pour ce qui est de l’égalité, ne nous laissons pas berner.
Dans les temps anciens, le brigand Procuste détroussait les voyageurs, puis les conviait chez lui à dormir dans un lit unique. Ceux dont les pieds dépassaient, il les leur coupait. Ceux qui étaient trop petits, il les étirait afin qu’ils fussent égaux. Il en est de même pour le pouvoir actuel: il ne respecte pas les différences, pourtant inhérentes et nécessaires à notre monde. Les gouvernants tendent à opérer une uniformisation politique, sociale et laïque, où tout ce qui est hors normes devient incorrect. La véritable unité se fait par le haut, tandis que la caricature de l’unité, c’est-à-dire l’uniformité, égalise par le bas. L’unité ne peut qu’être d’essence spirituelle car elle n’est ni physique ni formelle. L’uniformité ne se conçoit que de façon matérielle et suppose l’évacuation de toute sacralité. Pour que les droits de l’homme coexistent avec ses devoirs, il est nécessaire d’instaurer un guide indépendant des forces politiques, sociales et économiques, qui montrent une fâcheuse propension à renier leurs valeurs d’hier pour mieux trahir celles du lendemain. Le dernier pilier qui soit encore capable de maintenir libre l’esprit et l’âme d’une société, c’est la royauté.
Les dix royaumes et principautés d’Europe en sont l’exemple: ils incarnent l’identité souvent millénaire de leurs peuples. Je conçois que cela puisse irriter les tenants d’un mondialisme échevelé, qui ne se privent pas de les déstabiliser. Ces monarchies sont pourtant des royautés modernes, démocratiques et parlementaires. Le roi y règne sans gouverner, mais c’est bien lui qui maintient encore la cohésion du pays. Il demeure un arbitre capable de sauver la démocratie, comme Juan Carlos a su le faire en Espagne lors de la tentative de putsch du colonel Tejero en 1981.
Monseigneur le comte de Paris, de jure Henri VII de France
« La Royauté de l’Homme », aux presses du Châtelet
Sagesse,bontè et humanisme nous raprochent de Dieu…
Vive le Roy Henri VII !
Les premières secondes sont si exaltantes ! À voir !
https://www.arte.tv/fr/videos/073405-010-A/points-de-reperes/
Les rois qui ont fait la France se retournerait dans leur tombes si on appliquait la théorie de sa majesté. Que ce soit Philippe Auguste, Louis IX Charles V Charles VII Philippe le bel Louis XI et les autres en passant par Louis XIV, tous se voyaient comme les gestionnaires du vivre ensemble.
Qu’est-ce que la démocratie? C’est une société composée de 1000 écureuils et 100 renards. Les lois vont alors obligé les renards à vivre dans les arbres et mangé des noix. Les rois peuvent gérer les différences et maintenir l’équilibre. Ce n’est que comme ça que les rois de France se sont maintenus au pouvoir.
Je me permets de rappeler que la loi travail vise à abolir le droit du travail mis en place par Philippe le bel en prétendant que ce n’est pas bon. Il est vrai qu’il n’a pas fonctionné de 1296 à nos jours (Ironique)
Je remercie aussi Louis XIV qui a préféré envoyé des femmes plutôt que des soldats en nouvelle-France. C’est grâce à ça que le Québec existe toujours. Mais ce que faisait les rois n’était pas bon, même si ça dure dans le temps.
Tel le Roi Mage Melchior offrant l’or au Seigneur, notre Roi… Sage nous ouvre la voie royale, seule issue pour sauver la France…
Le Peuple de France est là, débordant d’amour, on vient de le voir, quand il perd un de ses chantres adorés.
Donnons lui un Roi à aimer !